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ProspeKtive
Le bureau fermé individuel : dinosaure ou phénix ?
Après avoir supprimé les bureaux individuels, on découvre à nouveau, dans les environnements de travail d’un certain nombre de grands utilisateurs, des espaces ressemblant à… des bureaux individuels. Le sondage Mon bureau post-confinement III (auprès de 1 868 personnes, avril 2021) de la chaire ESSEC Workplace Management, indique d’ailleurs que 63 % des répondants préféreraient travailler dans un bureau fermé, individuel ou partagé. Alors, que penser du bureau individuel ?
Diversité et Diver(c)ité
Ce n’est pas une incantation. Ce n’est pas un mantra. C’est une nécessité. La diversité est l’une des nouvelles valeurs qui infuse dans l’industrie immobilière. Au-delà des indices « diversité et inclusion » et des effets marketing qui habillent habilement les rapports annuels, cette nécessité remonte très haut dans la liste des préoccupations prioritaires des managers d’aujourd’hui et de demain. Pourquoi ? Pour trois raisons : performance, créativité, innovation.
Le télétravail, des origines à la marque-employeur
Le télétravail à domicile apparait dans les années 50 avec les travaux de Norbert Wiener sur la cybernétique.
Dans les années 70, le terme de « telecommuting » est inventé par Jack Nilles pour évoquer le travail effectué pour partie à distance du bureau. Il s’agit alors de substituer les moyens de télécommunications aux transports.
A l’heure du télétravail, que penser des bureaux individuels ?
Après avoir fait la guerre au bureau individuel, plusieurs utilisateurs engagés dans la transformation de leurs environnements de travail ont réintroduit des espaces pouvant ressembler à… des bureaux individuels. Dans le même temps, l’enquête « Mon bureau de demain » rappelle régulièrement que pour les jeunes générations (ou du moins les étudiants du programme Grandes Ecoles de l’Essec) le bureau individuel fait toujours envie : 27% d’entre eux en 2013, 38% en 2020.
L'exode urbain post Covid, mythe ou réalité ?
Texte écrit par Kardham, issu d’un entretien avec Alexandre Coulondre Docteur en socio-économie, chercheur associé au LATTS, Fondateur de DIT Conseil (Data, Immobilier, Territoires).
Quel espace de travail minimum ?
Article paru dans le numéro 62 d'office et culture.
Quels que soient les sites, le constat est là. Passé les premières semaines d’effervescence, la fréquentation des environnements de travail stagne quand elle ne baisse pas. Le télétravail a le vent en poupe. Souvent, le niveau de présence ne retrouvera pas son niveau d’avant crise. Sur le terrain, il semble que les ressources humaines aient passé la main aux financiers.
Après avoir pansé les plaies et mis en place de nouvelles modalités de travail, il s’agit de concrétiser les investissements dans le futur. Avec partout la même question : jusqu’où est-il possible d’optimiser l’espace de travail ? Et comment ?